La permaculture est une méthode de culture ne nécessitant pas d’avoir à travailler le sol. Le point sur ce qu’est cette méthode totalement en accord avec la nature.
Le concept de la permaculture
Aussi appelée agroécologie, cette technique de culture prônant le naturel fonctionne suivant quelques principes. Elle se base sur l’efficacité et la productivité d’une agriculture laissée à la nature. Le design doit aussi être primé. C’est d’ailleurs, ce qui prime dans un jardin. Il est à noter que ce design désigne les interactions pouvant exister entre les éléments d’un écosystème cultivé.
L’étude écologique démontre que la fertilisation du sol est un processus qui peut se faire grâce à la faune et les micro-organismes. L’agriculteur doit laisser reposer tout un tas de feuilles sur le sol. Ce tas va fournir au sol, les éléments dont ils ont besoin en se décomposant. Cet humus est du point de vue de l’écologie, la substance indispensable pour fertiliser le sol.
Le permaculteur aura à laisser la culture s’adapter d’elle-même à l’environnement dans lequel, elle est implantée. En agissant ainsi, il réduira au minimum l’apport d’énergie fossile.
De ce fait, le permaculteur tend à s’autosuffire, car la culture est en elle-même très nourricière.
L’objectif de cette méthode de culture
Le principal objectif de cette méthode de culture est la fourniture de nourriture saine sans aucun apport de produits fertilisants chimiques et d’engrais fossiles. Le pétrole est l’une des substances dont il faudrait, en effet, limiter l’utilisation tout en produisant de la nourriture suffisante pour celui qui le pratique. D’autant plus que la culture conventionnelle en requiert une quantité élevée de ces énergies fossiles pour l’utilisation des machines agricoles.
Ce genre de culture conventionnelle offre une quantité élevée de produits. Toutefois, la culture agroécologique possède une productivité encore plus élevée. Non seulement le mode de culture est plus rapproché, mais les associations de plantes utilisées augmentent également la résistance de la culture aux ravageurs.
Il est à noter que les écosystèmes cultivés possèdent une résilience plus élevée. Cette résilience est indispensable pour vivre mieux et bien dans ce monde confronté au problème de réchauffement climatique.
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